L’association a pour but la prise en charge, par les populations rurales de Wallonie, de l’amélioration de leur environnement. Elle se donne pour missions d’aider ces populations à prendre conscience de leurs richesses socioculturelles et à participer à la création de formes adaptées à notre temps et de faire de l’amélioration de l’environnement quotidien une oeuvre commune à tous ceux qui vivent dans cet environnement.
L’association a pour but la prise en charge, par les populations rurales de Wallonie, de l’amélioration de leur environnement. Elle se donne pour missions d’aider ces populations à prendre conscience de leurs richesses socioculturelles et à participer à la création de formes adaptées à notre temps et de faire de l’amélioration de l’environnement quotidien une oeuvre commune à tous ceux qui vivent dans cet environnement.
L’association a pour but la prise en charge, par les populations rurales de Wallonie, de l’amélioration de leur environnement. Elle se donne pour missions d’aider ces populations à prendre conscience de leurs richesses socioculturelles et à participer à la création de formes adaptées à notre temps et de faire de l’amélioration de l’environnement quotidien une oeuvre commune à tous ceux qui vivent dans cet environnement.
L’association a pour but la prise en charge, par les populations rurales de Wallonie, de l’amélioration de leur environnement. Elle se donne pour missions d’aider ces populations à prendre conscience de leurs richesses socioculturelles et à participer à la création de formes adaptées à notre temps et de faire de l’amélioration de l’environnement quotidien une oeuvre commune à tous ceux qui vivent dans cet environnement.
26/10/2017 27/10/2017
Le Musée du Verre de Charleroi organise les 26 et 27 octobre prochains, au CEME de Dampremy, un colloque sur la thématique de la poursuite de l'activité industrielle en zones de guerre lors de la Première Guerre mondiale.
Pendant ce colloque, il s'agira plus précisément de se pencher sur l'histoire économique de la Belgique et des zones frontières durant la Grande Guerre, aspect qui était encore, jusqu'à récemment, négligée par les historiens. En effet, la question industrielle est restée peu étudiée, si ce n'est sous l'angle de l'effort de guerre et des conséquences sociales qui en découlent. L'histoire économique en Belgique occupée n'est qu'effleurée et revient sans relâche sur « la mise à mort » de l'appareil industriel belge par l'Allemagne. Et quand l'historien discute d'une entreprise qui a poursuivi ses activités sous l'occupation, celle-ci est souvent entachée de l'accusation de collaboration. L'exemple de l'ingénieur carolorégien Émile Fourcault est, en ce sens, emblématique.
L'occasion est ici donnée d'étudier le fonctionnement quotidien de l'industrie pendant le conflit et au-delà d'estimer à qui finalement cela a profité, entre redistribution des parts de marché et remise à niveau de l'outil de production.
Les droits d'inscription s'élèvent à 40 euros (20 euros pour les étudiants) et comprennent l'accès aux deux journées, l'accueil déjeuner, les pauses, les lunchs du jeudi et vendredi. Ainsi qu'une soirée VIP avec apéritif dînatoire et découverte des collections permanentes du Musée des Beaux-Arts au programme le jeudi soir.
Infos : Les inscriptions se font auprès de Pascal Csik à pascal.csik@charleroi.be ou au 0496 59 92 14
Voir le détail de ces deux journées au format PDF
Qualité-Village-Wallonie association sans but lucratif
Bureau et siège social
Chaussée d’Argenteau 21 – 4601 Argenteau (Visé) Tél. 04 379 05 01
contact@qvw.be – www.qvw.be